Reckless

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	Shiku Island :: Aki :: Koyo :: Ancienne bibliothèque
Reckless

Invité

Mer 11 Jan - 19:21

11.01.2023
Après-midi
Bibliothèque
de Koyo

Koyo, deux heures de l’après-midi, Benjiro donne l’impression qu’il vient tout juste de commencer sa journée, et ce n’est pas tout à fait faux! Il profite de l’absence de soleil direct pour se promener sans sa capuche et sans ses lunettes de fumée, mais ses mains sont enfoncées dans ses poches et il traine des pieds jusqu’à se rendre à un des fauteuils mis dans l’ère de lecture, posant son sac à dos sur le sol pour en vider son contenu sur la petite table tout juste à côté de lui. À cette heure-ci, il y avait pas mal de monde à la bibliothèque; faut dire que c’était déjà surprenant qu’elle existe. Mais Koyo étant de qu’elle était¹, les services publics se devaient d’offrir un minimum de confort aux personnes qui y passaient. Ici, il y avait des toilettes, une bonne lumière, un canapé confortable dans lequel Benji s’enfonce sans honte, sortant ses outils; en ce moment, il était en train de modifier un manteau noir tout bête, mais bien épais et chaud, pour le rendre plus… différent? Alternatif? Il comptait poser plus de 200 œillets et y faire passer des rubans de couleurs pour le rendre unique en son genre. Et tout le monde sait que Benji adore les couleurs de l’arc-en-ciel, de toute manière.

Alors il s’active; il utilise un espèce de poinçon pour installer les œillets, il fait de minuscules trous pour faciliter la chose, et il force pour bien sceller les œillets ensemble, jusqu’à ne plus sentir ses mains et rendre ses jointures blanches. C’était un travail de longue haleine qui demandait de l’énergie, mine de rien, de la concentration pour que tout soit bien droit et espacé également. Mais le jeune homme était installé confortablement, il avait pas mal de lumière pour s’orienter et l’endroit était assez calme. Comme il venait de prendre une douche dans son « appartement » qu’il partage avec d’autres paumés comme lui, en plus, il ne se sentait pas inadéquat et n’avait pas trop peur qu’on veuille l’obliger à se déplacer² parce qu’il dérange les usagés.

Quand le rush des adolescents qui arrivaient de l’école fût terminé et que le calme retombe avant la fin des cours, Benji en profita pour faire sortir sa petite Bunny de sa pokéball; son premier réflexe à elle fût d’aller se cacher… dans le sac à dos presque vide de son dresseur! C’était assez mignon, on pouvait voir ses oreilles dépasser de la fermeture éclair; quand même, le couturier la regarder se s’assure qu’elle ne soit pas en train de paniquer, puis retourne à sa petite couture. Puis, pour l’amuser, il sort de la poche de son hoodie le magnifique ruban multicolore qu'il vient d’acheter pour le haut, le genre de ruban qui coute la peau des fesses mais qui est tellement beau. Il se penche vers Bunny et lui dit : « R’garde Bunbun, j’ai un super ruban! Y’est beau, non? » Il lui tend le chose, et ajoute : « Tu peux jouer avec si t’veux, j’te fais confiance pour pas l’abimer! »

Et puis il laisse le ruban glisser dans son sac à dos, et un certain mouvement lui laisse savoir que la lapine est en train de s’amuser avec; même qu’elle sort sa tête du sac pour en observer les couleurs à la lumière; ça fait sourire son dresseur qui, ému, semble retenir sa respiration parce qu’il la trouver tellement mignonne! Ça lui fait plaisir de la voir s’habituer à lui et aux autres tranquillement pas vite…

Image du manteau que Benji fait ici
¹Pauvre
²Parce qu’il y a toujours des Karen qui veulent vous pourrir la vie, il arrivait que même ne étant propre et bien habillé, on se fasse déranger…

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Olivier de Neys

Mer 11 Jan - 20:51

https://shiku-island.forumsrpg.com/t67-olivier-de-neys-moth-in-a

Reckless.

Ce que faisait Olivier à Aki ? Je vous laisse réviser la topographie des lieux, vous rappeler l'occupation (pas celle officielle, l'autre) de notre monsieur et laisser vos neurones faire le lien. Qu'ils ne le fassent pas n'est ceci dit pas bien grave : après tout l'homme se trouvait actuellement à errer dans une bibliothèque publique à faire ce qu'il avait de mieux à faire, c'est-à-dire pas grand chose. Honnêtement la collection d'ouvrage de sa famille, à Kalos, était bien plus impressionnante que celle de cette ville... Mais elle contenait surtout des livres ennuyants d'art ou d'histoire aussi les étagères à sa vue offraient tout de même un minimum d'intérêt. Sur son épaule était perchée Boucles d'or la Farfaduvet : c'était rare qu'il préfère la compagnie du type fée à celle de Reine mais -pour des raisons évidentes- les insectes n'étaient pas les bienvenus ici.

Il faut dire, aussi, que le Kalosien cherchait à se rapprocher de la boule de coton dernièrement, quand bien même cette dernière était loin de rendre l'effort. Que voulez-vous ? Le farfadet savait bien que le seul intérêt que son dresseur avait pour lui, c'était de le voir réalise ses ambitions à l'avenir. Or il n'avait aucune envie d'aider un humain, encore moins celui-là.

" - Regarde, c'est de là d'où viens ton surnom !" s'exclama à voix basse l'homme, livre d'images à l'appui présentant une petite fille blonde et une famille d'Ursaring... Mais le type plante ne sembla pas convaincu, sautant de son épaule pour observer de plus près les autres livre de l'étagère. Cet échec critique ne tira qu'un soupir fatigué de son dresseur tandis qu'il regardait le petit Pokémon se diriger vers les autres rayons, curieux.

" - Ne t'éloignes pas trop, d'accord ? Et ne te fais pas trop remarquer. "

Là où un humain normal aurait simplement entendu un cri de Farfaduvet en réponse, Olivier entendit clairement une belle invitation à se mêler de ses affaires. Bon. Il rangea le livre avant de poser son attention sur l'étagère en face de lui, essayant d'ignorer comment cette dernière interaction et le fait de traîner au rayon des contes pour enfant lui donnait des airs de parent. L'endroit était plutôt tranquille, aussi le Farfaduvet pouvait se promener seule sans le moindre soucis : la petite bestiole se lassa vite des rangées de livres poussiéreux, ceci dit, et fixa son attention sur les autres êtres humains. Certains la regardait avec des airs de gogoles -comme ils tendent à prendre avec les enfants ou les autres trucs mignons- ça l'agaçait.

Puis elle aperçu un émergumène, affalé sur un canapé, qui faisait... Quelque chose. Le type fée s'approcha silencieusement, aussi légère que le vent, pour constater qu'il s'agissait de couture. C'est vrai que les humains avait tendance à s'habiller, quand bien même elle n'en comprenait pas l'intérêt : pourquoi mettre tant d'effort dans une réalisation qui finirait en charpie au moindre combat ? C'est pas malin ! Du mouvement dans le sac à dos l'intrigua : Boucles d'or d'un bond se positionna sur le dossier du canapé pour apercevoir un autre Pokémon -un Laporeille- jouer avec un ruban. Décidemment, cette bestiole devait être aussi fût-fût que son maître. Allait-elle finir comme ça à force de traîner avec le blondinet ? Quelle horreur ! Le Farfaduvet ne réfléchit pas plus : elle s'empara du ruban à la première occasion, puis fila à toute vitesse. Ça, c'était du jeu !

Awful

Invité

Mer 11 Jan - 21:24

11.01.2023
Après-midi
Bibliothèque
de Koyo

Enfer, catastrophe. Dans un moment de distraction, Benji avait posé ses yeux sur le manteau qu’il transformait plutôt que de les laisser sur la Laporeille qui de toute manière jouait tranquillement dans son coin. Pourquoi aurait-il eu besoin de la surveiller, quand elle était très bien capable de s’occuper de ses fesses? Ce sont les larmes de Bunny qui sortirent Benjiro de sa transe; le voilà qui délaisse ses outils et son œuvre sur le fauteuil pour se lever puis se pencher vers le sac à dos, tendant délicatement les mains vers son pokémon pour la soulever et la tenir contre lui, comme on tiendrait un bambin esseulé. « Oh, Bunbun, qu’est-ce qui se passe? » il lui parle doucement; ses pleurs se font faibles, saccadés, comme si elle avait peur de déranger. Et puis il remarque, du coin de l’œil; un bout de ruban multicolore qui se faufile entre les étagères de livres. Un voleur!

Benjiro a envie de hurler, de faire du tapage, de gronder : c’est que pour lui, ce ruban, ça représente toutes ses économies de la semaine. Un simple ruban! C’était dire combien il était dévoué à son art, n'est-ce pas? Il ne sait que faire; poursuivre ce qui lui a volé son bien, ou prendre le temps de ramasser ses affaires? Parce que rien ne disait, s’il partait à courir dans un lieu public vers le voleur, que d’un, il le retrouverait, et de deux, que ses choses abandonnées ne seraient pas volées également. Pas le temps de penser; le voilà qui glisse sa Laporeille dans son sac à dos, le fermant légèrement pour qu’elle puisse quand même y sortir sa tête en tout confort, puis il mit le sac sur son dos et abandonna derrière les œillets et le manteau sur le fauteuil et la petite table basse.

Croisant ce qu’il imagine être un usager lambda, il te dit : « Pardon, on m’a volé un truc, je- j’ai pas l’temps d’expliquer, t’pourrais pas surveiller mes choses? » dit-il en te pointant son bazar; et puis sans attendre, il se lance dans les allées un peu au hasard, le cœur palpitant comme jamais. Par où commencer? Il avait perdu un temps considérable… Le voilà qui passe entre les allées à la recherche du ruban, la panique au ventre. « Hey! C’mon ruban, r’viens icitte! » dit-il un peu fort, mais sans oser crier. Et ce qu’il ne sait pas, c’est que plus il panique… plus ton pokémon y prend de la joie, réellement. Mais quand on a pas grand-chose, ce qu’on possède, on ne veut pas nécessairement s’en départir.

Et le pire dans tout ça? Si Boucle d’or avait demandé à jouer avec le ruban, Benjiro lui aurait donné la permission. Mais c’était pas vraiment ce qu’elle voulait, pas vrai?

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Olivier de Neys

Ven 13 Jan - 20:29

Reckless.

Plongé dans ses pensées face à un recueil de nouvelles -dont les kanji composant le nom de l'auteur lui était inconnu, décidémment devrait-il travailler son japonais d'avantages- Olivier se trouva bien ennuyé d'être dérangé par un inconnu. Un gamin au cheveux arc-en-ciel, parlant bien vite et de manière un peu trop familière à son goût, mais l'adulte parvint malgré tout à comprendre : victime d'un vol, hein ?... Ayant subit un tel méfait récemment (et ayant pu, par chance, récupérer son bien) il ne pouvait que compatir. Pas que l'adolescent ait attendu de le voir acquiescer d'un signe de tête pour filer : la jeunesse, je vous jure ! Sa bonté le perdra. Olivier poussa un soupir exaspéré, se retournant vers là où il avait vu son pokémon pour la dernière fois :

" - Dis, Boucles d'or tu veux pas t'en charger ?... Boucles d'or ?"

... C'est à dire le vide. Il regarda à gauche, à droite : aucune trace du Farfaduvet. Juste des usagers regardant avec une curiosité mêlé d'agacement la scène. Elle n'aurait tout de même pas- En fait, si, la fée avait probablement quelque chose à voir avec cet incident. Olivier n'avait pas la moindre foi en ce Pokémon et l'avoir laisser sans supervision quelques minutes était une erreur. Il souffla une injure avant de refiler à la première venue, une vieille dame à lunettes, la tâche ingrate de surveiller les affaires du gamin ainsi que le livre qu'il tenait en passant. Ça, c'était cadeau et si Karen avait quelque chose à y redire, autant qu'elle se plaigne a un mur car l'homme n'avait pas tardé à disparaître dans les rayons à son tour, cherchant la boule de coton du regard. Naturellement, cette dernière n'allait pas répondre même s'il l'appelait et qui dit bibliothèque dit silence alors...

Seul le chapardeur semblait passer un bon moment, ici : voir un humain paniquer pour un malheureux ruban, ça avait de quoi faire rire la fée, plus encore que faire chouiner ce bébé de Laporeille ! Ce n'est pas comme si elle comprenait le concept de valeur monétaire, dans sa tête rien ne l'empêchait de juste en ramasser un au magasin : mais non, le type aux mèches arc-en-ciel voulait celui-là précisément, aussi faisait-elle exprès d'agiter le bien tant convoité derrière elle tandis qu'elle sautait d'étagère en étagère. Le type plante laissait voir sa bouille perchée en hauteur quelques secondes lorsqu'interpellée, comme si elle considérait sérieusement écouter, avant de repartir dans le sens opposé... Jusqu'à ce qu'elle tombe sur Olivier.

" - Je te tiens...! " s'exclama t-il... Sans pour autant parvenir à intercepter le Pokémon, hélas, elle était trop rapide.

Awful

Invité

Jeu 19 Jan - 23:21

11.01.2023
Après-midi
Bibliothèque
de Koyo

Benji avance en rond comme une poule pas de tête, avançant à pas longs et rapides sans toutefois courir par peur de se faire mettre dehors pour avoir dérangé la paix publique ou un truc du genre. La bibliothèque est un peu un havre pour lui -il ne voulait absolument pas faire quoi que ce soit pour se faire bannir, mais ce foutu ruban, il y tenait. Il le suit du coin de l’œil, sans jamais rattraper ou identifier la bestiole, n’ayant absolument aucune chance de rattraper la voleuse en allant à cette vitesse là! Et puis une première boucle a été faite; il revient vers toi, Olivier, un peu surpris parce qu’il a entendu ta voix alors que tu adressais manifestement le pokémon. « T’l’as vu? Où’s’k’y’est¹ parti? » fait-il simplement une fois rendu à ton niveau, ne s’arrêtant que l’espace d’une seconde pour repartir dans la direction que tu lui pointeras. Déterminé, rien n’allait l’arrêter… sauf une autre boucle qui le ramena vers toi. Il s’arrête donc -manifestement le pokémon allait repasser par ici, pas vrai?

« Euh, pardon, je- j’me suis fait piquer que’que chose pour ma couture, t’aurais pas une idée d’qui? Une petite description m’ferait pas d’mal, la marche-poursuite ça l’fait pas trop là » il avait l’air manifestement mis à mal; la Laporeille dans son dos reniflait encore bien qu’elle semblait avoir arrêté de pleurer pour l’instant, la surprise était passée. C’était la première fois qu’on venait lui voler quelque chose dans la bibliothèque; ici il y a très peu de filous qui trainent, à vrai dire, c’était bien trop calme pour le grabuge et les ennuis, ou en tout cas c’est comme ça que Benji l’avait vu jusqu’à maintenant. Après, c’est surtout que le gamin n'a pas vraiment grand-chose qui valait la peine d’être volé. Son téléphone cellulaire était tellement vieux qu’il gardait sa charge l’équivalent de deux-trois heures, ça ramait à mort, et le reste de ses possessions c’était du matériel de couture et de la bouffe pour pokémon.

« J’suis vraiment désolé d’te déranger » dit-il un peu; mais dans son attitude on pouvait sentir qu’il avait assumé que toi, gentil passant, tu allais l’aider dans son combat contre la vile friponne qui lui a volé son ruban arc-en-ciel. Parce que lui, il ne sait pas que c’est ton pokémon à toi…

¹Où est-ce qu’il est. Oui, c’est une vrai locution québécoise~

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Olivier de Neys

Dim 22 Jan - 0:36

Reckless.

Qu'est-ce qu'il racontait, le gamin ? Olivier n'en avait pas la moindre idée -avec son accent à couper au couteau- mais, dans le doute, pointa la direction vers laquelle était partie la boule de coton, supposition qui devait être correcte vu comment le jeune détala. Le blond, quand à lui, n'eut pas la foi de repartir à la poursuite du type plante de suite après cet échec cuisant : il savait que l'avoir par la vitesse serait impossible, mais alors comment ?.... Le temps qu'il y réfléchisse, le voilà de nouveau nez à nez avec le gamin arc-en-ciel : Boucles d'or était comme ça, après qu'elle ait remarqué la surprise de sa victime à croiser son dresseur, naturellement elle calculerait ses aléas pour que les deux se croisent de nouveau. Olivier penserait que le gamin aurait fait le lien entre son voleur et lui, mais apparemment non... M'enfin, ça l'arrangeait bien !

" - Ah, je crois que c'était un... Doudouvet ? Un Pokémon comme ça, je ne suis pas sûr... " mentit-il habilement, faisant mine de réfléchir " Enfin, pas la peine de s'excuser ! C'est des choses qui arrivent puis j'aimerai vous aider, je peux difficilement me concentrer avec le désordre ! "

Hop, voilà une excuse pour poursuivre également le Farfaduvet : il ne savait pas exactement ce que la sale bête avait piqué mais le Kalosien ne souhaitait pas être jugé responsable de ses crimes ou être associé avec la sale bête alors... Comment ça, c'était de sa faute s'ils étaient dans cette situation en premier lieu ? Chut, depuis quand il assumait les conséquences de ses actes ?

" - Mais comment faire... On est dans une bibliothèque donc je doute que lui courir après soit une bonne idée. " admit-il, soupirant en croisant les bras.

Le Pokémon fée observait les deux humains comploter, du haut de son étagère, et ça ne lui plaisait mais alors pas du tout ! Bah oui, ça l'ennuyait qu'ils fassent ami-ami et s'allient contre lui. Alors Boucles d'or eu une idée : elle attrapa tant bien que mal un livre avec ses petites pattes, le plus lourd possible (probablement une encyclopédie ou un dictionnaire quelconque) avant de le tirer jusqu'au bout de l'étagère et laisser tomber sur un des humains. Lequel ? Va savoir ! Elle laissa s'échapper un petit cri amusé avant de s'envoler à l'autre bout de la bibliothèque... Plus précisément, plus près de là où l'adolescent avait laisser ses affaires (et Olivier la Karen). Devrait-il l'embêter, elle aussi ? Non, elle avait l'air ennuyante, alors en attendant que les deux se bougent le Farfaduvet s'installa tranquillement sur le canapé à côté de la vieille.

Awful

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