Nom : de Neys Prénom : Roland Age : 16 ans Région et ville d'origine : Ludester, Galar Domicile actuel : Suika, Haru
Orientation sexuelle : "Lesbiab- lesbiam- less bien- Girls." Groupe : Ranger Métier : Etudiante et apprentie Ranger
Choix pokémon : Tarsal + 1 choix du staff
Avatar : Caster (Altria) - Fate/Grand Order
Histoire
Roland, c'est cette fille (oui, en dépit de son prénom !) au parler bizarre qu'on aperçoit souvent traversant à la hâte les rues de Suika. Oh, elle sait bien qu'il aurait été plus logique d'emménager à Shizun au vu de ses études auprès de la Fédération Ranger, mais elle a préféré faire sa vie dans ce petit village tranquille où elle aurait d'avantages d'occasion de pratiquer son japonais. La population locale -accoutuée aux étrangers- se montre généralement très compréhensive et sa famille d'accueil -un couple de petits vieux- la chouchoute comme faisant partie de la famille à part entière. Si devoir écouter des radotages dont elle ne comprend que la moitié ou faire le trajet jusqu'à l'île central est parfois ennuyeux, ce n'est pas grand chose aux yeux de l'adolescente qui trésore ce quotidien comme il se doit !
Après tout, elle se souvient encore du regard désapprobateur de sa famille concernant son choix d'avenir : quitte à n'avoir d'yeux que pour les Pokémon, on espérait qu'elle vise plus haut en s'intéressant à la médecine ou à la recherche mais non, elle n'est jamais passée outre cette phase de jouer au chevalier. Elle aura toujours préféré les duels de bâtons à la dinette, peu importe combien cela déplaisait. Si elle avait été déçue lorsque, découvrant ses terres d'origines (Kalos), elle constata que ses images de sublimes châteaux et noblesse des livres de son enfance n'avaient été que fantaisie, reste que les valeurs chevalières de dévouement, générosité et bravoure étaient trop fortement encrées en elle pour qu'on ne puisse la dissuader de cette voie. Refuser de se reconnaître dans son prénom de naissance, aussi, n'était (à priori) qu'une énième de ses excentricité.
"Hortense" : voilà le prénom originel de la petite blondinette qui, dans l'album familial, se tient si souvent auprès du jeune adulte aux cheveux ébènes lui servant de grand-frère. Quand bien même la famille conservatrice les ayant mit au monde n'avait de cesse de lui rappeler l'irresponsabilité de son ainé -son devoir de ne pas finir comme lui- reste qu'il était son seul allié lorsqu'il s'agissait de sécher ses cours privés ô combien ennuyant pour s'amuser aux abords de leur ville enneigée. Les Pokémon ne sont pas à craindre, disait-il, pour autant qu'on sache suivre leurs règles de bienséance : et effectivement, silencieux et bien cachés, ils eurent souvent l'occasion d'admirer les adorables petits Frissonille sans jamais craindre les griffes des Farfuret du coin. Elle aura été un pot de colle pleurnichard avec lui, certes, mais il était le seul ne mettant pas en lumière son inutilité...
Que dire ? Musique, dessin ou écriture, aucune de ces activités ne lui réussissait. Son niveau de langue -entre le français parlé à la maison et l'anglais de leur région d'accueil- était désastreux au point où il était parfois difficile pour Roland de se faire comprendre, même de proches. Il ne s'agissait pas de stupidité : la blonde a toujours eu de la ressource et est d'ailleurs un adversaire redoutable aux échecs lorsqu'elle s'y met, à en croire son cousin. Mais cette énergie qu'elle a toujours possédée et pourrait vendre à foison, au lieu d'avoir été exploitée pour en faire l'idole d'un club de sport quelconque, se trouvait péniblement réprimée par la volonté qu'avait ses parents de faire de leur fille une petite princesse exemplaire. Une marionnette dont un certain individu aura eu raison des fils, mais à quoi bon, puisqu'elle n'aurait jamais pu lui rendre la faveur ?
Son âge n'atteignant même pas deux chiffres à l'époque, il lui était impossible de saisir les raisons du départ de son frère ou l'état dans lequel il avait abandonné leur famille, tout comme pourquoi ces enjeux reposaient désormais sur ses frêles épaules. L'héritière souhaitait un Pokémon pour remédier à sa solitude ? Comment osait-elle, cette égoiste, alors que tout l'argent du foyer était déjà pour elle ! Arborer de belles tenues aux soirées mondaines où on la trainait, faire bonne impression et attendrir ces "grandes personnes" pour qu'on accorde à ces nobles déchus un énième prêt, tout ça c'était son devoir. Leur condition ne la concernait que lorsque la quantité de nourriture dans son assiette se faisait réduite ou quand les crises de nerfs des parents se retournaient contre elle (faute que le principal fautif soit là) ceci dit : une poupée ne se plaint pas.
Naturellement en était-elle venue à éviter sa maison. L'enfant se réfugiait dans la nature, à compter les Marcacrin traversant le sentier, ou alors à l'école. Parfois chez des copines, lorsque leurs parents parvenaient à la rassurer qu'elle ne dérangerait pas. Si elle voyait les autres avec des yeux vert de jalousie par moment, reste qu'elle a toujours été reconnaissante de la bonté auquel on aura fait preuve envers elle durant ces rudes années. C'est pour ça qu'elle est persuadée que les êtres humains ont pour la majorité bon fond et seules des circonstances hors de leur contrôle peuvent les faire mal agir : même ses parents, elle est sûr qu'ils étaient des personnes formidable avant de connaître ces soucis d'argent ! Et son grand-frère... Certainement avait-il ses raisons, quand bien même encore aujourd'hui elle n'a jamais su réellement l'excuser.
Tout prit fin lorsqu'elle eu douze ans et la famille fut contrainte de regagner Kalos, leur contrée d'origine : à partir de là se fut la "branche principale" qui la prit en charge. Jamais plus on ne lui hurla dessus lorsqu'elle confessait n'avoir aucun intérêt pour l'art ou quoi que ce soit n'ayant pas de rapport avec ses chers Pokémon. D'ailleurs, on lui offrit un Tarsal pour son treizième aniversaire et c'était bien la première fois qu'un cadeau lui faisait plaisir, ne lui donnait pas l'impression d'être endettée ! Bon, on tenait toujours à ce qu'elle assiste à ces galas à la noix et, en plus, à ce qu'elle s'y trouve un "futur mari" (râlant lorsqu'elle passait son temps auprès des dames ou du buffet) mais la patience dont on faisait preuve à son égard compensait ce désagrément. L'hypocrisie ? Elle a toujours été trop naïve pour la voir, à ce qu'il parait.
Elle tenta de conserver un lien avec ses parents mais ne se fit pas d'illusions : ils ne l'accepterait pas dès lors qu'elle n'était pas la fille qu'ils espéraient (pour dire, elle doutait même d'en être une, de fille, mais ça peut rester entre nous n'est-ce-pas ?). Il lui fut difficile de rester de marbre lorsqu'on l'accusait de -comme son ingrat de frère avant elle- juste vouloir faire son intéressante, blesser ses pauvres géniteurs d'avantages et cracher sur tout ce qu'ils avaient fait pour elle. Heureusement son cousin prit sa défense : si Émile et elle n'ont jamais été très proches, en dépit d'avoir vécu sous le même toit quelques années, reste que le jeune adulte avait autre chose à faire que de saboter les choix de vie de sa petite cousine. Alors en sachant que quelqu'un la soutenait, même dans l'ombre, Roland ne pouvait décidément pas jeter cette chance de s'affirmer.
Ainsi parvint-elle a intégrer un des centres de formation géré par la branche Kalosienne de la fédération Ranger, où elle fournit un travail non pas extraordinaire mais honnête. Bien sûr, dès que l'option des mobilités d'études fut posée sur la table, Roland saisit l'occasion : qu'importait la région où elle était mutée, assoifée de nouvelles aventures qu'elle était !.. Et c'est comme ça qu'elle se retrouva à postuler pour Shiku. Sortant un manuel de japonais dont elle tenta (en vain) d'absorber toutes les nuances en quelques mois, histoire d'avoir un atout pour la démarquer des autres candidats, tout en essayant de pas négliger ses cours à côté... Oui, bon, si elle a été retenue c'est vraiment par chance. Ou car certaines personnes se sont arrangées pour, derrière les rideaux, mais parfois, moins on en sait mieux on se porte.
D'Eon aussi a été élevé aux contes de chevalier et il compte bien devenir un puissant Gallame !... En dépit d'être né femelle. Ni lui, ni Roland n'ayant capté ce léger soucis malgré les années passées ensemble à jouer au roi et chevalier. On peut douter qu'un détail pareil change les sentiments du type psy sur la question, ceci dit. Par ailleurs, si jamais, le roi ici c'est pas lui, même si lui et sa dresseuse ont bien dû trancher la question...
Derrière l'écran
Pseudo ~20+ Age ~Il Pronoms ~Les copaings Comment as tu découvert le forum? ~ Saucisse
Anciennement le pokémon de sa famille d’accueil, ses anciens dresseurs se font trop vieux pour s’occuper d’elle. Il faut dire qu’elle déborde d’énergie et aime courir partout sans jamais s’arrêter. C’est avec plaisir qu’elle a été confiée à Roland, elle est parfaite comme pokémon pour un ranger et fera une excellente monture pour un cavalier !
Niveau 5 ~ Mâle
Bluff ~ Force ajoutée ~ Encore ~ Feu ensorcelé
Ancien pokémon de domestique, il s’occupait de Roland à Kalos et lui obéissait comme son propre pokémon. C’est à son départ pour Shiku que le pokémon à choisir de le suivre de lui-même, avec l’accord de sa dresseuse. Il est calme et sert Roland comme un valet mais il ne faut pas s’y méprendre : il sait aussi se battre.
Niveau 5 ~ Mâle
Piqûre ~ Picpic ~ Groz’yeux ~ Mur de fer
Bien que destiné à évoluer en pokémon chevalier, c’est un vrai petit pleurnichard qui a peur des affrontement et qui agit sur le coup de la panique s’il est envoyé au combat. Trouvé par Roland pendant une mission, le pokémon à refuser de la quitter et trouve du réconfort dans sa présence, il a juste besoin de prendre confiance en soi.
Sam 28 Jan - 12:08
