Nom du personnage

Votre personnage

Physique & Caractère

Alonzo, la première fois qu’on le voit, on doit lever la tête pour pouvoir le regarder dans les yeux. Le mec, c‘est une armoire ; il est grand, il est musclé, bref, s’il glisse sur quelqu’un la personne deviendra une crêpe. Il les fait facilement ses 2m et quelques, et son poids est aux alentours de la centaine de kilos qui est d’ailleurs constitué en très grande majorité de muscles. Donc oui, il est fort et il prend bien soin de son corps. Mais ce qu’on remarque le plus autre que sa peau sombre ou sa barbe de trois jours, c’est ce cache-oeil qui couvre son œil droit ; et l’on peut y voir aisément une cicatrice y dépasser. Son autre oeil violet, lui, ne semble pas blessé. Ses cheveux noir et longs, Alonzo les garde très souvent attaché vers le bas, les laissant tomber sur son épaule gauche en général. Il faut être honnête : entre sa petite barbe, ses cicatrices, son air un peu fatigué avec ses yeux souvent à moitié clos, il a l’air plus vieux que ce que l’on pourrait penser. Mais bon, on peut pas tout avoir.

Niveau vêtements, Alonzo aime les choses simples et surtout, des vêtements pas trop lourds. Il est habitué aux températures de l’été, il l’a toujours été, et donc sa garde-robe est en majorité constituée de t-shirts et de shorts. Plus c’est simple et plus il aime de toute façon ! Mais bon, au moins, sa tenue de ranger n’est pas trop chaude au moins. Le combo t-shirt rouge/shorts noir et sneakers, c’est sûrement ce qu’on voit le plus avec lui quand il est en repos. S’il doit vraiment avoir une tenue qui le couvre, il optera pour des grands manteaux épais et des pantalons larges. Pas qu’il tient mal le froid, mais il aime bien ce qui est ample.

Niveau caractère… eh bien, ne vous fiez pas aux apparences ! Alonzo est souvent là avec un grand sourire, tout gentil, prêt à aider le premier type qui vienne le voir que ça soit en civil ou en Ranger- mais sous ce beau sourire charmeur, cette belle voix grave mais douce ou cette gentillesse se trouve un gars qui n’a pas peur de se montrer taquin, brute, voir carrément sadique à certains moments. Bon, ça, il ne le montre qu’à ceux qui le méritent ; les Pokémon et les bonnes personnes éviteront de voir ce côté de lui, mais les criminels et autres méchants risquent de se retrouver face à une armoire qui n’aura pas peur d’utiliser sa force pour les éclater au sol ou contre les murs- ou à leur faire flipper pour leur vie avec ses paroles. Ben ouais, on peut pas être beau et complètement innocent faut croire. Clairement, si il peut se défouler et être sadique à souhait, il n’hésite pas à le faire avec les gens qui le cherchent. Mieux vaut donc ne pas lui donner une raison de vous en vouloir !

Mais bon, autre que ça… si vous le croisez juste et osez lui parler, il ne se montrera pas méchant, plutôt sociable, même ; et si les touristes et autres étrangers ne sont pas toujours bien vu sur sa région d’origine, Alonzo prend son boulot au sérieux et ne vous enverra pas balader tant que vous restez sympa. Pour dire, il n’hésite même pas à se montrer un peu dragueur dans les moments ou il se trouve sociable, par pure taquinerie.

Il n’ose pas trop le montrer, mais… ce ranger adore vraiment chouchouter les Pokémon comme s'ils étaient ses bébés. Pas pour rien qu’il a choisi cette voie, d’un côté ! Mais de ce côté-là, il préférerait mourir que de l’admettre aux gens. Non, Alonzo est bien trop fier pour vouloir montrer ses faiblesses ! Parfois au point de se montrer rapidement violent si on le pousse un peu trop là-dessus. Il aime garder certains secrets rien que pour lui, et il faudra beaucoup d’efforts pour espérer les lui tirer sans se prendre un coup dans le processus.

Histoire

//Attention, il y a des mentions de blessures et de violence, voilà le reste des tags ao3 merci taro ma couille : ennemies to lovers - moobs - ranger AU - modern AU - he has two hands - handcuffs//

Alonzo, c’était un gamin discret. Un gamin timide. Le genre de mômes dont on oublie l'existence aussi vite après l’avoir rencontré, tant il veut rester loin des autres et simplement être tranquille dans son coin. Il ne déteste pas les gens, mais il n'est pas à l’aise avec eux. Comme certains gamins de son âge ; il faut de tout pour faire un monde. Au moins, ce gamin peut s’estimer chanceux qu’il est natif de Natsu, que sa famille est présente sur la région depuis que ses grands-parents s’y sont installés et qu’il n’était pas un étranger : là, et encore aujourd’hui, il est convaincu que ça aurait été un enfer à vivre. Déjà que ce n’était pas le paradis.

Eh oui, si on le voit aujourd’hui, extraverti, sociable, sympa avec les gens… on aurait jamais pensé une seule seconde que dans sa jeunesse, il était le bouc émissaire de bon nombre de gamins. Il en fallait toujours un, et un gars timide qui ose pas se défendre parce qu’il est trop gentil et calme, c’est bien une bonne cible sur laquelle se défouler. C’était surtout avec les paroles et parfois des bousculades- jamais rien de trop violent pour que les adultes disent qu’il doit juste apprendre à se défendre et rarement intervenir. Mais Alonzo ne savait pas se défendre, trop bon trop con qu’il est ; et revenir de l’école tous les jours en larmes, c’était une triste réalité dont ses parents ne savaient pas comment aider.

Mais il avait la chance d’avoir une famille proche des Pokémon, avec ses parents qui aimaient en élever, prendre soin d’oeufs qu’ils trouvaient ou qu’on leur donnait parce que les gens les trouvaient sans savoir qui étaient les parents ; et si les gamins qui étaient à l’école lui faisaient vivre un enfer, les Pokémon, eux, ils ne le jugeaient pas pour sa timidité ou ses faiblesses. Eux, ils étaient juste content de traîner avec un gamin calme, qui les nourrit et passe du temps avec eux. Une expérience qui lui avait déjà donné un énorme amour pour ces petites bêtes aussi intéressantes que impressionnantes- qui avaient depuis bien longtemps tracé une voie dans un métier qui lui permettrait de rester avec eux.

Bien sûr, c’est pas juste passer du temps avec tout les Pokémon du monde qui allaient permettre au gamin d’effacer les problèmes de l’école- mais ceux qui s’attaquaient à lui étaient plus futés, et il trouvaient toujours de nouveaux sales tours et paroles à lui balancer pour continuer à le blesser sans que les adultes et autres personnes normalement responsables aillent jusqu’à enfin prendre de vraies sanctions ; et ses parents, c’était pas faute d’essayer de demander des rendez-vous ou de chercher les parents- mais ils n’arrivaient pas à trouver des solutions, et changer d’école n’était pas quelque chose dont tout le monde peut se permettre. Alors, Alonzo doit tenir, tenir, serrer les dents et subir, sans avoir la force ou le courage de se défendre : mais la frustration et la colère s’accumulent en lui, sans jamais se dissiper, vivant en l’enfant qui s’imaginait de plus en plus espérer trouver quelque chose qui le permettrait d’enfin sortir de ce quotidien infernal.

Cependant, ce dont Alonzo ne se doutait pas, c’est que cet étincelle qui le pousserait enfin se montrerait une soirée où il était dehors, à profiter d’une balade pour se vider la tête sur le sentier côtier, pour aller faire un tour à la falaise lorsqu’il avait besoin de temps pour lui. Jeune ado un peu perdu qui se cherche et qui ne supporte plus d’être la victime des gamins qui vivent autour de chez lui, tout était bon pour s’éloigner de ce qu’il détestait. Et pourtant, lui qui voulait tant rester tranquille ce jour-là, voilà qu’il avait été interrompu dans sa marche par des cris de Pokémon, assez éloignés pour que les autres types qui se baladent et qui ont la tête ailleurs ne puisse pas y faire attention ; mais des cris pareils, ça avait de quoi attirer la curiosité comme l’inquiétude du gamin qu’il est. Quelques secondes, Alonzo avait hésité ; mais un cri plaintif, mélangé aux autres, lui avait donné le coup de pouce pour qu’il arrête de réfléchir et qu’il fonce voir.

Il est vrai que la nature n’est pas toujours belle à voir, et n’hésite pas à se montrer cruelle par moment ; mais quand on est encore jeune, c’est toujours difficile d’assister à ces moment-là qu’on aurait aimé ne jamais savoir. Et voir ce qui semblait être un jeune Séviper se faire encerclé et attaqué par un petit groupe de Mangriff bien plus grands et costauds que lui, et que ce même groupe semblait presque s’amuser à lui en faire baver et à l’agresser sans le laisser fuir, c’était bien ce genre de moments qu’il aurait voulu ne jamais avoir à faire avec ; surtout pour lui, qui n’avait eu aucune difficulté à remplacer le serpent par lui-même et les autres Mangriff par les sales cons qui lui servent de “camarades”.

Mais cette vision, cette simple pensée, et cette scène, ces cris qui semblaient trop familiers pour son coeur- tant d’émotions, tant de rage qui commencent à lui faire perdre la raison ; la fameuse goutte de trop qui fait déborder le vase… ou en l'occurrence, la petite étincelle de trop dans une montagne de poudre explosive. Trop jeune, trop con, trop enragé ; il n’a plus la raison dans sa tête, et c’est dans ce qui pourrait presque être un cri de guerre qu’Alonzo s’est jeté sur le premier Mangriff à sa portée pour lui foutre un coup de poing bien droit dans la gueule ; un coup qui lâchait enfin cette accumulation de colère et de frustration qu’il gardait depuis bien trop longtemps. Le premier coup d’une série d’attaques, entre les poings, les pieds, et même la tête et les dents, l’ado n’avait plus le sens de la réalité, et il était prêt à déverser sa rage sur le premier venu.

Mais les Pokémon restent dangereux, plus dangereux qu’un mioche enragé ; et si le petit groupe de Mangriff s’était fait plaisir en harcelant le jeune Séviper, ils s’étaient bien facilement tous retournés contre Alonzo pour avoir tenté d’attaquer leur ami. Pourtant, ça ne l’arrête pas de s’accrocher, de continuer à déverser toute la violence qu’il gardait en lui contre tout ce qui passait devant lui ; et même s’il prend des attaques à son tour, des coups de griffes comme jamais il en avait reçu- il ne s'arrête pas. Il crie, hurle lorsqu’il ne mord pas, frappe tout ce qu’il peut devant lui même si c’est la terre, et il se débat dans tous les sens pour espérer que son agitation ait de quoi les effrayer. Et peut-être que c’est parce qu’il a aidé le Séviper à ne plus être la cible ou parce qu’il avait une haine des Mangriff, mais le jeune Pokémon une fois conscient de la situation s’était décidé à rejoindre le chaos en s’attaquant sans réfléchir au groupe ; quitte à parfois se prendre des coups dans la mêlée de la part de l’ado enragé.

Un vrai chaos qui, pour Alonzo, durera une éternité ; mais un chaos assez bruyant pour rameuter d’autres personnes, qui avaient rapidement donné l’alerte en voyant qu’un imbécile s’était retrouvé dans un combat Pokémon. La présence de nouveaux humains n’avaient pas été ignorés par les Mangriff, qui n’avait pas cherché à attendre que des emmerdes leur tombent dessus pour fuir sans rien demander de plus, laissant enfin l’ado et le Séviper tranquilles pour de bon. L’adrénaline et la colère tombent doucement, laissant enfin le temps à Alonzo de retrouver un instants ses esprits, de comprendre ce qui s’était passé ; mais surtout, de sentir l’horrible douleur qui le lacérait de partout rapidement s’intensifier- ce qui n’était qu’une gène juste avant avait maintenant assez grandi pour qu’il n’ait plus la force de garder conscience- ne lui laissant même pas le temps de donner quelques paroles aux personnes qui approchaient, ou plutôt, aux tâches de couleurs floues qui semblaient chercher à lui parler juste au-dessus de sa tête.

Mais il en fallait plus, pour le faire passer dans l’autre monde. Plus que de simplement l’envoyer quelques jours à l'hôpital, à l’opérer pour soigner comme on peut les blessures graves, et attendre qu’il se réveille enfin. Le réveil avait été difficile, douloureux ; mais surtout, apprendre qu’en plus des nombreuses cicatrices qu’il avait gagnées, son œil droit avait été perdu en échange… ouais, même pour un adolescent, ça fait beaucoup d’informations, surtout pour un événement dont même ses propres souvenirs sont flous ; et dont il ne reste que les cicatrices et le Séviper pour s’assurer que c’était bien réel. Le Séviper, les gens croyaient qu’il lui appartenait et qu’avec le chaos du combat, la Pokéball de ce dernier avait été perdue ou brisée. Ce n’était pas le cas, mais sa famille, trop fans de Pokémon qu’ils étaient, l’avaient récupéré pour l’aider à se remettre sur pied- et puis, leur fils l’avait probablement aidé justement à se défendre… laisser ses efforts être perdus n’aurait pas été une bonne chose. Même s'il n’y avait pas échappé, à l’engueulade de ses parents tellement inquiets qu’ils n’arrivent pas à croire encore qu’il avait décidé de se jeter dans la mêlée, mains nues, pour sauver un Pokémon.

Alonzo avait été sacrément amoché, un œil en moins, la gueule et le corps couverts de cicatrices… mais regrettait-il ? Absolument pas. Parce qu’il avait défendu un Pokémon dont il ne pouvait que trop bien comprendre sa situation, mais surtout… parce qu’il avait adoré se battre. Oui, le combat n’avait pas bien fini, et ça aurait pu même être pire. Mais avoir pu laisser éclater sa colère, se défouler sans retenue ou qui que ce soit pour l’arrêter ! Savoir qu’il a même blessé certains d’entre eux, même légèrement…. oh, il n’osait pas le dire à qui que ce soit, mais rien que l’idée de voir ces enfoirés souffrir par sa main était une sensation qu’il adorait. Qu’il regrettait de ne pas avoir connue plus tôt. Même si ses souvenirs sont flous, ses bribes de mémoires et cette idée de s’être plus ou moins vengé sur d’autres harceleurs arrivaient à lui donner le sourire ! Et l’idée de pouvoir faire subir le même sort à d’autres gamins qui se croyaient plus forts que lui… oui, elle était là, cette idée. Mais Alonzo était patient ; et pour une fois, lorsqu’il était enfin guéri et de nouveau sur pied, l’idée d’aller à l’école ne lui faisait plus vraiment peur ; au contraire.

Bien qu’on lui avait laissé quelques jours tranquilles, les autres mômes surtout impressionnés par la gueule qu’il avait maintenant, les plus cons d’entre eux avaient décidé que cela ne serait pas suffisant pour lui foutre la paix. Oh non, comme auparavant, il en fallait qu’un essaie de le bloquer quelque part dans l’école pour le tourmenter, ne s’emmerdant même pas pour l’originalité en s’attaquant directement à ses cicatrices ou son œil perdu pour tenter de le blesser encore. Mais c’était tout ce qu’il attendait, Alonzo ; qu’on lui donne de quoi se foutre en rogne, pour la renvoyer en double sous forme de violence physique. Il écoute, il se laisse pousser quelques instants, et quand le bully avait décidé qu’il en avait assez pour la journée et lui tourna le dos… Oh, pas besoin de chercher plus loin.

Alonzo l’avait attaqué au moment ou il s’y attendait le moins, à la même manière qu’avec les Mangriff, pour l’éclater sans relâche jusqu’à ce que d’autres élèves non loin entendent le bazar et décident d’intervenir pour séparer bien que difficilement les deux élèves.

Un sacré incident, qui cette fois avait enfin attiré l’attention de l’établissement scolaire ; parce que si les gamins avaient eu l’intelligence de ne jamais faire trop de bruit pour ne pas qu’on les prenne au sérieux, il faut dire qu’Alonzo n’avait même pas fait le moindre effort pour se retenir de son côté. L’autre gamin n’avait pas été sérieusement blessé et heureusement, mais il avait pris assez cher pour devoir aller faire un tour à l’infirmerie ; et voir un docteur ailleurs, tout court. Un événement qui lui aura coûté une exclusion de quelques jours, et que les adultes blâment sur son “récent accident” qui avait certainement encore un impact sur lui.

Oh, après ça ? Bon, ses parents n’avaient pas aimé, évidemment ; mais d’un côté, à force de lui dire qu’il faut se défendre… ils s’y attendaient, d’une manière ou d’une autre. Au moins, avec cette exclusion, ça avait donné à Alonzo la possibilité de réfléchir- et de se dire qu’il faudrait qu’il trouve des meilleurs moments pour laisser son sadisme exploser. Car il faut le dire, il ne regrettait pas son geste là-encore ; pouvoir se venger aussi violemment était une sensation qu’il ne pouvait pas oublier, ou laisser tomber. Et l’idée de recommencer ne lui faisait pas peur, bien au contraire… il se devait juste d’être plus discret.

Ses darons et les médecins qu’ils avaient vu avaient conseillé d’inscrire Alonzo à une activité sportive pour se défouler, et espérer que ça suffise le temps que ses idées reviennent un peu en place. De la boxe, tiens, pour qu’il puisse se battre sans mettre de gens en danger. Une occasion en or qui lui avait permis de se défouler et de devenir plus fort ; mais l’envie de faire du mal, elle restait présente quoiqu’il arrive. Alonzo n’arrivait pas à s’en débarrasser, bien qu’il savait pertinemment que ce n’était pas normal ; mais il n’en avait plus rien à foutre, après des années à endurer sans rien dire. A la place, l’ado qu’il était avait juste appris à être plus discret, à attendre qu’on le provoque d’abord pour attaquer et surtout, de le faire en dehors des lieux comme l’école.

Il est devenu bon menteur, naturellement. A cacher son sadisme et ses vraies intentions, il n’avait pas le choix. Mais malgré tout, il savait se montrer gentil, adorable, sociable même : un sacré changement positif pour ses parents, même si Alonzo préférait toujours la compagnie des Pokémon et surtout, de son Séviper qui avait décidé de rester avec lui. Le serpent aussi avait commencé à se calquer sur son dresseur, à avoir ce petit côté sadique envers ceux qui lui cherchent des ennuis ; tel Pokémon, tel dresseur.

Malgré ses années mouvementées, et ses soucis qui vont avec, cela ne l’avait pas empêché de réussir à intégrer une école de Ranger. Bien évidemment, apprendre à se contrôler et cacher ses défauts avait été quelque chose de compliqué ; mais avec la volonté de travailler pour aider ceux qui en ont besoin, surtout les Pokémon… Pour ses rêves, tout était possible, au fond. Lui et son Séviper avaient passé ces années à renforcer leur liens, déjà forts par la situation qui les avaient réunis ensemble et la soif de vengeance qui allait avec ; un véritable duo que rien ne pouvait séparer, assez pour qu’Alonzo ne cherche pas à agrandir son équipe pendant ses études.

Peut-être qu’il n’était pas le plus brillant des apprentis, mais il était fort et déterminé ; et si ses études n’avaient pas été des plus simples, ayant dû refaire parfois une année, Alonzo avait fini par décrocher enfin son diplôme et devenir Ranger, en bonne et dûe forme. Sa colère facile et son sadisme existaient toujours, mais il l’avait accepté ; bien qu’il savait mieux la contrôler et la cacher, il refusait de parler de ces choses-là, ne les montrant qu’à ceux qui le méritent- dans le sens qu’il n’hésitait pas à se montrer plus cruel avec les types qui cherchaient à être au-dessus de lui ou à faire du mal. Mais quand on est un ranger, il faut bien parfois se montrer un peu plus…. brute avec les criminels et autres malfaiteurs du genre.

Même s’il vit toujours à Natsu, maintenant dans sa propre petite maison, devoir se déplacer pour son boulot dans les quatre coins de Shiku, ça lui plait. Mais l’envie de se défouler reste toujours là, toujours prête à sortir ; et Alonzo espère bien avoir l’occasion de monter les échelons pour trouver de nouvelles occasions de montrer de quelle bois il se chauffe au premier gars venu.

Vos pokémon

Tore - Séviper - Niveau 20
Ligotage - Regard Médusant
Représailles - Queue Poison

Un Séviper, rencontré lorsqu’Alonzo était encore un jeune ado. Il l’a aidé à se battre contre des Mangriff : un geste qui a poussé le serpent à rester avec lui. Partageant son sadisme avec son dresseur, il a cependant aussi appris à ne pas se laisser céder à sa colère, au point de ne plus être aussi fan de combats qu’auparavant. Il préfère se battre que seulement s’il y a une urgence, préférant utiliser ses capacités et autres talents plutôt pour piéger et observer les gens.

Derrière l'écran

Tu es validé !

Re-bienvenue ! Comme toujours j'adore découvrir tes OCs et leurs caractère :corgi:

Je ne te retient pas plus longtemps :

Tu reçoit


1 dé de nouvelle chance

1 pokéball

Liens utiles
Bottin des avatars
Liste des métiers
Changement dans l'équipe
Carte dresseur