A story to cry for | PV. Pamela Burger |
A story to cry for Notre Bird est un homme altruiste. Alors, quand il voit une personne pleurer, il n'y pense pas deux fois et va à sa rencontre pour s'assurer que tout va bien. C'est dans sa nature. Il ne sait pas trop pourquoi la joli dame est triste, mais il fera de son mieux pour lui venir en aide. - Est-ce que tout va bien? Lui adresse-t-il, sourire compatissant aux lèvres. Tient, comme c'est étrange. Il y a une odeur d'oignon dans l'air. Ça n'a probablement rien à voir avec tout cela. Codage par Libella sur Graphiorum | |
a story to cry for ft. oizo oeufbert Elle aurait clairement pu attendre de rentrer chez elle mais la curiosité a été plus forte que la raison. De là à éplucher un oignon et à croquer dedans pour voir si son nouveau mascara tient ? Rien que la bouchée qu'elle a prise aurait dû la dissuader de continuer tant le légume lui pique le palais. Mais Pamela est têtue dans sa connerie, elle a commencé, elle compte bien terminer ce qu'elle a entrepris. Alors elle agite le bulbe sous ses yeux et là c'est la catastrophe. Juste les conséquences de ses actions mais ce n'est qu'un détail. Car ça brûle et les larmes montent n'apaisent pas du tout ses pauvres petits yeux irrités. Sa solution ? Se ventiler en faisant éventail avec ses mains mais bien sûr qu'elle n'a pas lâché l'oignon, ce serait le gâcher ! Alors même la petite brise pique. Son seul regret dans tout ça ? Elle n'est même pas capable de voir le résultat de sa petite expérience ! Abattue, elle ne peut qu'attendre que ça passe. Aller à une fontaine serait une riche idée si elle pouvait voir devant elle.. Ou prier pour qu'une jolie ranger vienne la sauver et- Quelqu'un est là ! ▬ Ca dépend ! Répond un peu trop dans l'émotion la demoiselle à l'inconnu qui est incroyablement flou. ▬ Est-ce que mon mascara coule ? L'oignon a enfin été abandonné pour qu'elle puisse pointer de ses ongles manucurés son maquillage en redressant le visage. Elle est rouge, toujours sujette aux larmes, fait de petites respirations saccadées comme quelqu'un qui évacuerait de la fumée, sa deuxième main plaquée contre sa bouche pour lui épargner l'haleine résultant de son étrange petit goûter. C'est la seule chose censée à laquelle elle aura pensé aujourd'hui. |
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